HIKU - spectacle au Théâtre des Bergeries
mai
15

HIKU - spectacle au Théâtre des Bergeries

Au Japon, des milliers d’individus vivent dans un isolement absolu en restant enfermés chez eux des années ; on les appelle les hikikomori. Depuis 2020, grâce à différents séjours au Japon, nous nous sommes immergés dans la vie d’une association de soutien aux hikikomori au Japon et avons noué contact avec certains d’entre eux.

Mêlant installation cinématographique et performance, HIKU crée les conditions d’une rencontre à priori impossible ; celle du public avec ces personnes qui ont fait l’expérience d’un retrait social radical : Shizuka, Mastuda et Yagi. Iels investissent la scène grâce à des robots de téléprésence pilotés depuis chez eux au Japon. Accompagné.e.s par la performeuse Yuika Hokama, iels nous embarquent au cœur de leur univers intime et à la rencontre de la communauté activiste qui s'est formée autour de l'association. 

“HIKU porte sur scène le phénomène japonais des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Par le truchement de robots commandés à distance, trois d’entre eux trouvent ici une présence publique et une puissance d’agir [...].  La pièce condamne moins cette disparition sensible, cette fuite hors du réel, qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.” Florian Gaité

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HIKU - spectacle aux Passerelles
mai
17

HIKU - spectacle aux Passerelles

Au Japon, des milliers d’individus vivent dans un isolement absolu en restant enfermés chez eux des années ; on les appelle les hikikomori. Depuis 2020, grâce à différents séjours au Japon, nous nous sommes immergés dans la vie d’une association de soutien aux hikikomori au Japon et avons noué contact avec certains d’entre eux.

Mêlant installation cinématographique et performance, HIKU crée les conditions d’une rencontre à priori impossible ; celle du public avec ces personnes qui ont fait l’expérience d’un retrait social radical : Shizuka, Mastuda et Yagi. Iels investissent la scène grâce à des robots de téléprésence pilotés depuis chez eux au Japon. Accompagné.e.s par la performeuse Yuika Hokama, iels nous embarquent au cœur de leur univers intime et à la rencontre de la communauté activiste qui s'est formée autour de l'association. 

“HIKU porte sur scène le phénomène japonais des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Par le truchement de robots commandés à distance, trois d’entre eux trouvent ici une présence publique et une puissance d’agir [...].  La pièce condamne moins cette disparition sensible, cette fuite hors du réel, qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.” Florian Gaité

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HIKU - spectacle à l'EMC91 - deux représentations
mai
23
à 24 mai

HIKU - spectacle à l'EMC91 - deux représentations

Au Japon, des milliers d’individus vivent dans un isolement absolu en restant enfermés chez eux des années ; on les appelle les hikikomori. Depuis 2020, grâce à différents séjours au Japon, nous nous sommes immergés dans la vie d’une association de soutien aux hikikomori au Japon et avons noué contact avec certains d’entre eux.

Mêlant installation cinématographique et performance, HIKU crée les conditions d’une rencontre à priori impossible ; celle du public avec ces personnes qui ont fait l’expérience d’un retrait social radical : Shizuka, Mastuda et Yagi. Iels investissent la scène grâce à des robots de téléprésence pilotés depuis chez eux au Japon. Accompagné.e.s par la performeuse Yuika Hokama, iels nous embarquent au cœur de leur univers intime et à la rencontre de la communauté activiste qui s'est formée autour de l'association. 

“HIKU porte sur scène le phénomène japonais des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Par le truchement de robots commandés à distance, trois d’entre eux trouvent ici une présence publique et une puissance d’agir [...].  La pièce condamne moins cette disparition sensible, cette fuite hors du réel, qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.” Florian Gaité

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_p/\rc__germinal_ recréation   - Olympiades culturelles 2024- 1 représentation
juin
8

_p/\rc__germinal_ recréation - Olympiades culturelles 2024- 1 représentation

Recréation en partenariat avec le centre culturel Germinal des fosses dans le cadre des olympiades culturelles Paris 2024 : Annonce Ministrère de la culture ici “C’est un programme qui se veut « inspirant », comme son nom l’indique. Souhaitant, dans le cadre de l’Olympiade culturelle, mettre en lumière des projets qui contribuent, selon Rima Abdul Malak, à une « société plus inclusive », le ministère de la Culture, en partenariat avec le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympique Paris 2024 (COJO), a sollicité le monde de la création pour des propositions artistiques inédites ayant pour objet – mais aussi comme sujet – le handicap.”

La page de la creation

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WAKA👁️LaComediedeValence -  5 représentations
févr.
1
à 2 févr.

WAKA👁️LaComediedeValence - 5 représentations

Théâtre de la Ville

mar 30.01 14h30

mar 30.01 20h00

mer 31.01 20h00

jeu 1.02 14h30

jeu 1.02 20h00

durée 1 h

C’est l’histoire de Rachael M., jeune pousse de la pop ougandaise de 17 ans qui fait aujourd’hui des milliers de vues sur YouTube. Seule en scène, cette dernière dépose au plateau les gestes de son village au bord de la route, dans un quartier pauvre du Sud de Kampala et quelques paroles nues en luganda - idiome qui résiste aux langues officielles de son pays : l’anglais et secondairement le swahili – portant le droit des enfants et des femmes. Tour-à-tour enfant des rues, écolière, diva et porte-voix, Rachael se connecte à son crew, Les Waka Starz restés en Ouganda, par l’intermédiaire d’un grand écran Skype. C’est une histoire collective, celle d’une famille et d’un village, qui se dessine au fil du répertoire des Waka Starz, groupe d’enfants devenu phénomène YouTube, et grandis à l’ombre du père, cinéaste underground et déjanté. Peu à peu, le cadre s’élargit : un public ougandais assiste au spectacle, de l’autre côté. C’est une tentative, celle d’un « double spectacle » qui se développe de part et d’autre, dans un théâtre européen et sur une scène en banlieue de Wakaliga, connectée en live. S’adressant à un public agrandit, par-delà ces frontières, que nous dira-t-il, de nous-même ?

Coproducteurs Charleroi Danse | CDN La Comédie de Valence | Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise | Festival de Marseille | 3 bis f, centre d’art contemporain d’intérêt national - résidences d’artistes à Aix-en-Provence, Citron jaune, Vélo Théâtre, Théâtre Durance, dans le cadre du Projet Tridanse | Ballet national de Marseille | CCN Ballet de Lorraine | ICK Amsterdam | Les Hivernales, CDCN d’Avignon | La Briqueterie - CDCN. | CD 13 des Bouches du Rhône

WAKA👁️THEATRE* est accompagné par le Pôle de production internationale des pratiques émergentes Parallèle

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WAKA👁️AGORA -  2 représentations
janv.
23
à 24 janv.

WAKA👁️AGORA - 2 représentations

AU THÉÂTRE DE L'AGORA - SN ESSONNE

MAR. 23 JANVIER À 19H30

MER. 24 JANVIER À 19H30

durée 1 h

C’est l’histoire de Rachael M., jeune pousse de la pop ougandaise de 17 ans qui fait aujourd’hui des milliers de vues sur YouTube. Seule en scène, cette dernière dépose au plateau les gestes de son village au bord de la route, dans un quartier pauvre du Sud de Kampala et quelques paroles nues en luganda - idiome qui résiste aux langues officielles de son pays : l’anglais et secondairement le swahili – portant le droit des enfants et des femmes. Tour-à-tour enfant des rues, écolière, diva et porte-voix, Rachael se connecte à son crew, Les Waka Starz restés en Ouganda, par l’intermédiaire d’un grand écran Skype. C’est une histoire collective, celle d’une famille et d’un village, qui se dessine au fil du répertoire des Waka Starz, groupe d’enfants devenu phénomène YouTube, et grandis à l’ombre du père, cinéaste underground et déjanté. Peu à peu, le cadre s’élargit : un public ougandais assiste au spectacle, de l’autre côté. C’est une tentative, celle d’un « double spectacle » qui se développe de part et d’autre, dans un théâtre européen et sur une scène en banlieue de Wakaliga, connectée en live. S’adressant à un public agrandit, par-delà ces frontières, que nous dira-t-il, de nous-même ?

Coproducteurs Charleroi Danse | CDN La Comédie de Valence | Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise | Festival de Marseille | 3 bis f, centre d’art contemporain d’intérêt national - résidences d’artistes à Aix-en-Provence, Citron jaune, Vélo Théâtre, Théâtre Durance, dans le cadre du Projet Tridanse | Ballet national de Marseille | CCN Ballet de Lorraine | ICK Amsterdam | Les Hivernales, CDCN d’Avignon | La Briqueterie - CDCN. | CD 13 des Bouches du Rhône

WAKA👁️THEATRE* est accompagné par le Pôle de production internationale des pratiques émergentes Parallèle

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WAKA👁️CHARLEROIDANSE - Première Belge -  2 représentations
janv.
17
à 18 janv.

WAKA👁️CHARLEROIDANSE - Première Belge - 2 représentations

Charleroidanse 17 jan 20H

Charleroidanse 17 jan 20H

Navette depuis Bruxelles mer 17 jan 18h30

Apéro danse - Mer 17 jan - 19:30

durée 1 h

C’est l’histoire de Rachael M., jeune pousse de la pop ougandaise de 17 ans qui fait aujourd’hui des milliers de vues sur YouTube. Seule en scène, cette dernière dépose au plateau les gestes de son village au bord de la route, dans un quartier pauvre du Sud de Kampala et quelques paroles nues en luganda - idiome qui résiste aux langues officielles de son pays : l’anglais et secondairement le swahili – portant le droit des enfants et des femmes. Tour-à-tour enfant des rues, écolière, diva et porte-voix, Rachael se connecte à son crew, Les Waka Starz restés en Ouganda, par l’intermédiaire d’un grand écran Skype. C’est une histoire collective, celle d’une famille et d’un village, qui se dessine au fil du répertoire des Waka Starz, groupe d’enfants devenu phénomène YouTube, et grandis à l’ombre du père, cinéaste underground et déjanté. Peu à peu, le cadre s’élargit : un public ougandais assiste au spectacle, de l’autre côté. C’est une tentative, celle d’un « double spectacle » qui se développe de part et d’autre, dans un théâtre européen et sur une scène en banlieue de Wakaliga, connectée en live. S’adressant à un public agrandit, par-delà ces frontières, que nous dira-t-il, de nous-même ?

Coproducteurs Charleroi Danse | CDN La Comédie de Valence | Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise | Festival de Marseille | 3 bis f, centre d’art contemporain d’intérêt national - résidences d’artistes à Aix-en-Provence, Citron jaune, Vélo Théâtre, Théâtre Durance, dans le cadre du Projet Tridanse | Ballet national de Marseille | CCN Ballet de Lorraine | ICK Amsterdam | Les Hivernales, CDCN d’Avignon | La Briqueterie - CDCN. | CD 13 des Bouches du Rhône

WAKA👁️THEATRE* est accompagné par le Pôle de production internationale des pratiques émergentes Parallèle

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HIKU -  spectacle au centre culturel Houdremont
déc.
15

HIKU - spectacle au centre culturel Houdremont

Spectacle d’Anne-Sophie Turion & Éric Minh Cuong Castaing - 15 décembre

durée 1H30

Entre performance, fiction et documentaire, HIKU ouvre l’espace d’une rencontre a priori impossible avec des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Sur scène, en téléprésence, trois d’entre eux, en phase de resociabilisation, prennent la parole, interagissent avec les spectateurs, déplacent des morceaux de décor ou déploient des banderoles. Chacun pilote son robot depuis sa chambre, à des milliers de kilomètres de là, tandis que Yuika, leur interprète et partenaire de jeu, les accompagne au plateau en chair et en os. S’entremêlant aux actions scéniques, des séquences cinématographiques ouvrent une fenêtre sur leur intimité ici revisitée ou même fantasmée, naviguant entre souvenirs de leurs années de retrait et sensations présentes. Hantée par le motif de la hikikomori-démo, happening par lequel ces reclus revendiquent leur droit à la démission sociale, la pièce condamne moins cette fuite hors du réel qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.

réservation : ici

Ce spectacle est une production de la cie shonen en collaboration avec la cie Grandeur Nature

Anne-Sophie Turion est performeuse, artiste visuelle et autrice. Elle décline son appétence pour le vivant et le visuel sous forme d’interventions in-situ, de performances, de spectacles. Dans la boîte noire ou au grand air, elle s’attaque au réel pour l’orchestrer en fiction. S’emparant avec humour des artifices du théâtre ou du cinéma, elle fabrique des récits aux rouages apparents : images spectaculaires et scenarios se construisent à vue, laissant la vraie vie s’incruster de toutes parts. Depuis 2018, elle est représentée par actoral, Bureau d’accompagnement.

Eric Minh Cuong Castaing est chorégraphe et a fondé la compagnie Shonen (adolescent, en japonais) en 2007. Artiste associé au Ballet National de Marseille de 2016 à 2019 puis à La Comédie de Valence (2020-2024), il a signé une quinzaine de créations – spectacle, installations, performances, films - mettant en relation danse et nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée...). Ses projets, qu’il qualifie d’in socius, prennent forme au sein de réalités sociétales en partenariat avec des institutions en dehors monde de l’art (laboratoires de recherches, écoles, hôpitaux, ONG...). Eric M.C.C. explore ainsi les modes relationnels des corps à l’ère du numérique, interrogeant les dualités art/société, réel/ fiction, organique/ artificiel. Diplômé des Gobelins L’école de l’image (Paris), il a d’abord été, pendant plusieurs années, graphiste dans le cinéma d’animation. Le travail de sa compagnie est aujourd’hui diffusé en France et en Europe.

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HIKU -  spectacle Théâtre de Rungis
nov.
24
à 25 nov.

HIKU - spectacle Théâtre de Rungis

Spectacle d’Anne-Sophie Turion & Éric Minh Cuong Castaing - 24 & 25 nov. Théâtre de Rungis

durée 1H30

Entre performance, fiction et documentaire, HIKU ouvre l’espace d’une rencontre a priori impossible avec des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Sur scène, en téléprésence, trois d’entre eux, en phase de resociabilisation, prennent la parole, interagissent avec les spectateurs, déplacent des morceaux de décor ou déploient des banderoles. Chacun pilote son robot depuis sa chambre, à des milliers de kilomètres de là, tandis que Yuika, leur interprète et partenaire de jeu, les accompagne au plateau en chair et en os. S’entremêlant aux actions scéniques, des séquences cinématographiques ouvrent une fenêtre sur leur intimité ici revisitée ou même fantasmée, naviguant entre souvenirs de leurs années de retrait et sensations présentes. Hantée par le motif de la hikikomori-démo, happening par lequel ces reclus revendiquent leur droit à la démission sociale, la pièce condamne moins cette fuite hors du réel qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.

réservation : ici

Ce spectacle est une production de la cie shonen en collaboration avec la cie Grandeur Nature

Anne-Sophie Turion est performeuse, artiste visuelle et autrice. Elle décline son appétence pour le vivant et le visuel sous forme d’interventions in-situ, de performances, de spectacles. Dans la boîte noire ou au grand air, elle s’attaque au réel pour l’orchestrer en fiction. S’emparant avec humour des artifices du théâtre ou du cinéma, elle fabrique des récits aux rouages apparents : images spectaculaires et scenarios se construisent à vue, laissant la vraie vie s’incruster de toutes parts. Depuis 2018, elle est représentée par actoral, Bureau d’accompagnement.

Eric Minh Cuong Castaing est chorégraphe et a fondé la compagnie Shonen (adolescent, en japonais) en 2007. Artiste associé au Ballet National de Marseille de 2016 à 2019 puis à La Comédie de Valence (2020-2024), il a signé une quinzaine de créations – spectacle, installations, performances, films - mettant en relation danse et nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée...). Ses projets, qu’il qualifie d’in socius, prennent forme au sein de réalités sociétales en partenariat avec des institutions en dehors monde de l’art (laboratoires de recherches, écoles, hôpitaux, ONG...). Eric M.C.C. explore ainsi les modes relationnels des corps à l’ère du numérique, interrogeant les dualités art/société, réel/ fiction, organique/ artificiel. Diplômé des Gobelins L’école de l’image (Paris), il a d’abord été, pendant plusieurs années, graphiste dans le cinéma d’animation. Le travail de sa compagnie est aujourd’hui diffusé en France et en Europe.

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HIKU -  spectacle Théâtre de Chatillon
nov.
17
à 18 nov.

HIKU - spectacle Théâtre de Chatillon

Spectacle d’Anne-Sophie Turion & Éric Minh Cuong Castaing - 17 & 18 nov. Théâtre de Chatillon

durée 1H30

Entre performance, fiction et documentaire, HIKU ouvre l’espace d’une rencontre a priori impossible avec des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Sur scène, en téléprésence, trois d’entre eux, en phase de resociabilisation, prennent la parole, interagissent avec les spectateurs, déplacent des morceaux de décor ou déploient des banderoles. Chacun pilote son robot depuis sa chambre, à des milliers de kilomètres de là, tandis que Yuika, leur interprète et partenaire de jeu, les accompagne au plateau en chair et en os. S’entremêlant aux actions scéniques, des séquences cinématographiques ouvrent une fenêtre sur leur intimité ici revisitée ou même fantasmée, naviguant entre souvenirs de leurs années de retrait et sensations présentes. Hantée par le motif de la hikikomori-démo, happening par lequel ces reclus revendiquent leur droit à la démission sociale, la pièce condamne moins cette fuite hors du réel qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.

réservation : ici

Ce spectacle est en collaboration avec la cie Grandeur Nature

Anne-Sophie Turion est performeuse, artiste visuelle et autrice. Elle décline son appétence pour le vivant et le visuel sous forme d’interventions in-situ, de performances, de spectacles. Dans la boîte noire ou au grand air, elle s’attaque au réel pour l’orchestrer en fiction. S’emparant avec humour des artifices du théâtre ou du cinéma, elle fabrique des récits aux rouages apparents : images spectaculaires et scenarios se construisent à vue, laissant la vraie vie s’incruster de toutes parts. Depuis 2018, elle est représentée par actoral, Bureau d’accompagnement.

Eric Minh Cuong Castaing est chorégraphe et a fondé la compagnie Shonen (adolescent, en japonais) en 2007. Artiste associé au Ballet National de Marseille de 2016 à 2019 puis à La Comédie de Valence (2020-2024), il a signé une quinzaine de créations – spectacle, installations, performances, films - mettant en relation danse et nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée...). Ses projets, qu’il qualifie d’in socius, prennent forme au sein de réalités sociétales en partenariat avec des institutions en dehors monde de l’art (laboratoires de recherches, écoles, hôpitaux, ONG...). Eric M.C.C. explore ainsi les modes relationnels des corps à l’ère du numérique, interrogeant les dualités art/société, réel/ fiction, organique/ artificiel. Diplômé des Gobelins L’école de l’image (Paris), il a d’abord été, pendant plusieurs années, graphiste dans le cinéma d’animation. Le travail de sa compagnie est aujourd’hui diffusé en France et en Europe.

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HIKU -  spectacle Maison du Japon Festival d'Automnne -Paris
oct.
19
à 21 oct.

HIKU - spectacle Maison du Japon Festival d'Automnne -Paris

Spectacle d’Anne-Sophie Turion & Éric Minh Cuong Castaing - 19 au 21 octobre 19H à la Maison culturelle du Japon -Paris

durée 1H30

Entre performance, fiction et documentaire, HIKU ouvre l’espace d’une rencontre a priori impossible avec des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Sur scène, en téléprésence, trois d’entre eux, en phase de resociabilisation, prennent la parole, interagissent avec les spectateurs, déplacent des morceaux de décor ou déploient des banderoles. Chacun pilote son robot depuis sa chambre, à des milliers de kilomètres de là, tandis que Yuika, leur interprète et partenaire de jeu, les accompagne au plateau en chair et en os. S’entremêlant aux actions scéniques, des séquences cinématographiques ouvrent une fenêtre sur leur intimité ici revisitée ou même fantasmée, naviguant entre souvenirs de leurs années de retrait et sensations présentes. Hantée par le motif de la hikikomori-démo, happening par lequel ces reclus revendiquent leur droit à la démission sociale, la pièce condamne moins cette fuite hors du réel qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.

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Ce spectacle est en collaboration avec la cie Grandeur Nature

Anne-Sophie Turion est performeuse, artiste visuelle et autrice. Elle décline son appétence pour le vivant et le visuel sous forme d’interventions in-situ, de performances, de spectacles. Dans la boîte noire ou au grand air, elle s’attaque au réel pour l’orchestrer en fiction. S’emparant avec humour des artifices du théâtre ou du cinéma, elle fabrique des récits aux rouages apparents : images spectaculaires et scenarios se construisent à vue, laissant la vraie vie s’incruster de toutes parts. Depuis 2018, elle est représentée par actoral, Bureau d’accompagnement.

Eric Minh Cuong Castaing est chorégraphe et a fondé la compagnie Shonen (adolescent, en japonais) en 2007. Artiste associé au Ballet National de Marseille de 2016 à 2019 puis à La Comédie de Valence (2020-2024), il a signé une quinzaine de créations – spectacle, installations, performances, films - mettant en relation danse et nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée...). Ses projets, qu’il qualifie d’in socius, prennent forme au sein de réalités sociétales en partenariat avec des institutions en dehors monde de l’art (laboratoires de recherches, écoles, hôpitaux, ONG...). Eric M.C.C. explore ainsi les modes relationnels des corps à l’ère du numérique, interrogeant les dualités art/société, réel/ fiction, organique/ artificiel. Diplômé des Gobelins L’école de l’image (Paris), il a d’abord été, pendant plusieurs années, graphiste dans le cinéma d’animation. Le travail de sa compagnie est aujourd’hui diffusé en France et en Europe.

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HIKU - création spectacle Festival Actoral
sept.
22
à 23 sept.

HIKU - création spectacle Festival Actoral

Spectacle d’Anne-Sophie Turion & Éric Minh Cuong Castaing - Première 22 & 23 septembre 19H au KLAP -Maison de la danse Marseille

durée 1H30

Entre performance, fiction et documentaire, HIKU ouvre l’espace d’une rencontre a priori impossible avec des hikikomori, ces reclus volontaires, isolés de toute vie sociale. Sur scène, en téléprésence, trois d’entre eux, en phase de resociabilisation, prennent la parole, interagissent avec les spectateurs, déplacent des morceaux de décor ou déploient des banderoles. Chacun pilote son robot depuis sa chambre, à des milliers de kilomètres de là, tandis que Yuika, leur interprète et partenaire de jeu, les accompagne au plateau en chair et en os. S’entremêlant aux actions scéniques, des séquences cinématographiques ouvrent une fenêtre sur leur intimité ici revisitée ou même fantasmée, naviguant entre souvenirs de leurs années de retrait et sensations présentes. Hantée par le motif de la hikikomori-démo, happening par lequel ces reclus revendiquent leur droit à la démission sociale, la pièce condamne moins cette fuite hors du réel qu’elle ne cherche à la saisir comme un effacement dissident, un moyen de résister aux injonctions contemporaines.

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Ce spectacle est en collaboration avec la cie Grandeur Nature

Anne-Sophie Turion est performeuse, artiste visuelle et autrice. Elle décline son appétence pour le vivant et le visuel sous forme d’interventions in-situ, de performances, de spectacles. Dans la boîte noire ou au grand air, elle s’attaque au réel pour l’orchestrer en fiction. S’emparant avec humour des artifices du théâtre ou du cinéma, elle fabrique des récits aux rouages apparents : images spectaculaires et scenarios se construisent à vue, laissant la vraie vie s’incruster de toutes parts. Depuis 2018, elle est représentée par actoral, Bureau d’accompagnement.

Eric Minh Cuong Castaing est chorégraphe et a fondé la compagnie Shonen (adolescent, en japonais) en 2007. Artiste associé au Ballet National de Marseille de 2016 à 2019 puis à La Comédie de Valence (2020-2024), il a signé une quinzaine de créations – spectacle, installations, performances, films - mettant en relation danse et nouvelles technologies (robots humanoïdes, drones, réalité augmentée...). Ses projets, qu’il qualifie d’in socius, prennent forme au sein de réalités sociétales en partenariat avec des institutions en dehors monde de l’art (laboratoires de recherches, écoles, hôpitaux, ONG...). Eric M.C.C. explore ainsi les modes relationnels des corps à l’ère du numérique, interrogeant les dualités art/société, réel/ fiction, organique/ artificiel. Diplômé des Gobelins L’école de l’image (Paris), il a d’abord été, pendant plusieurs années, graphiste dans le cinéma d’animation. Le travail de sa compagnie est aujourd’hui diffusé en France et en Europe.

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juin
23
à 24 juin

WAKA👁️LACRIEE - Première au Festival de Marseille, Théâtre de la Criée

C’est l’histoire de Rachael M., jeune pousse de la pop ougandaise de 17 ans qui fait aujourd’hui des milliers de vues sur YouTube. Seule en scène, cette dernière dépose au plateau les gestes de son village au bord de la route, dans un quartier pauvre du Sud de Kampala et quelques paroles nues en luganda - idiome qui résiste aux langues officielles de son pays : l’anglais et secondairement le swahili – portant le droit des enfants et des femmes. Tour-à-tour enfant des rues, écolière, diva et porte-voix, Rachael se connecte à son crew, Les Waka Starz restés en Ouganda, par l’intermédiaire d’un grand écran Skype. C’est une histoire collective, celle d’une famille et d’un village, qui se dessine au fil du répertoire des Waka Starz, groupe d’enfants devenu phénomène YouTube, et grandis à l’ombre du père, cinéaste underground et déjanté. Peu à peu, le cadre s’élargit : un public ougandais assiste au spectacle, de l’autre côté. C’est une tentative, celle d’un « double spectacle » qui se développe de part et d’autre, dans un théâtre européen et sur une scène en banlieue de Wakaliga, connectée en live. S’adressant à un public agrandit, par-delà ces frontières, que nous dira-t-il, de nous-même ?

Coproducteurs Charleroi Danse | CDN La Comédie de Valence | Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise | Festival de Marseille | 3 bis f, centre d’art contemporain d’intérêt national - résidences d’artistes à Aix-en-Provence, Citron jaune, Vélo Théâtre, Théâtre Durance, dans le cadre du Projet Tridanse | Ballet national de Marseille | CCN Ballet de Lorraine | ICK Amsterdam | Les Hivernales, CDCN d’Avignon | La Briqueterie - CDCN. | CD 13 des Bouches du Rhône

WAKA👁️THEATRE* est accompagné par le Pôle de production internationale des pratiques émergentes Parallèle

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mars
5

Forme(s) de vie - Spectacle, CNCA Morlaix

Quels gestes conserveriez-vous, si le mouvement devenait pour vous un enjeu, un objectif, un combat méritant ou nécessitant une attention sans faille ? Cette nécessité du geste rassemble sur scène les danseurs.ses et des interprètes en perte de mobilité (ancienne danseuse, un ex-boxeur professionnel).

Durée : 1h

Co-production / diffusion

PREMIÈRE au printemps 2021 : Festival de Marseille , Ballet National de Marseille, Vooruit Gand (BE), ICKamsterdam (PB), Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), Carreau du Temple à Paris, Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), CharleroiDanse (BE), Le Vivat Armentière..
Le projet est soutenu par la Fondation Porosus, Le Pôle Arts de la Scène -La Friche Belle de Mai
Exposition LE BAL à Paris en automne 2021 dans le cadre du prix de la jeune création contemporaine LE BAL - ADAGP

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mars
4

SOUS INFLUENCE - Clotûre du FESTIVAL DAÑSFABRIK, Le Quartz SN Brest

Clubbin’(2017), transgénérationnel influencé par des danseu.r.s.es professionnel.le.s et une centaine d’amateurs.trices complices, en collaboration avec les DJ berlinois Yes Soeur.

Initié à Marseille sur le toit-terrasse de La Friche Belle-de-mai en août 2017, puis lors de Nuit Blanche 2018 avec des milliers de participant.es, SousInfluence est un clubbin’techno incluant tout âge, tout corps, dans une épidémie de danse. Cette situation de fête invite le public à danser avec une centaines d’amat.eurs.rices complices accompagné.e.s par des danseu.r.se.s professionnel.le.s dans la musique électronique des Dj Berlinois YesSoeur.

Cette étrange communauté est régie par des conventions décalées et désinhibées, qu’il s’agira, pour le visiteur, de s’approprier. Réagissant à des codes couleurs, suite à une dizaine d’heures d’ateliers, des corps de tout âges crient, convulsent, se donnent, composent des paysages collectifs par des danses-contact douces, se portent ou s’envolent, créent des espaces d’autorisation et de consentement inédits et invitent le public à les rejoindre dans ces états de conscience modifiés.

SousInfluence a été pensé pour réenvisager des espaces sociaux et architecturaux et peut s’inscrire dans différents lieux (musée, lycée…) et contextes (festival de musique expérimental, espace public…)

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mars
2
à 3 mars

SOUS INFLUENCE - Atelier FESTIVAL DAÑSFABRIK, Le Quartz SN Brest

Clubbin’(2017), transgénérationnel influencé par des danseu.r.s.es professionnel.le.s et une centaine d’amateurs.trices complices, en collaboration avec les DJ berlinois Yes Soeur.

Initié à Marseille sur le toit-terrasse de La Friche Belle-de-mai en août 2017, puis lors de Nuit Blanche 2018 avec des milliers de participant.es, SousInfluence est un clubbin’techno incluant tout âge, tout corps, dans une épidémie de danse. Cette situation de fête invite le public à danser avec une centaines d’amat.eurs.rices complices accompagné.e.s par des danseu.r.se.s professionnel.le.s dans la musique électronique des Dj Berlinois YesSoeur.

Cette étrange communauté est régie par des conventions décalées et désinhibées, qu’il s’agira, pour le visiteur, de s’approprier. Réagissant à des codes couleurs, suite à une dizaine d’heures d’ateliers, des corps de tout âges crient, convulsent, se donnent, composent des paysages collectifs par des danses-contact douces, se portent ou s’envolent, créent des espaces d’autorisation et de consentement inédits et invitent le public à les rejoindre dans ces états de conscience modifiés.

SousInfluence a été pensé pour réenvisager des espaces sociaux et architecturaux et peut s’inscrire dans différents lieux (musée, lycée…) et contextes (festival de musique expérimental, espace public…)

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févr.
28

Forme(s) de vie - Spectacle FESTIVAL DAÑSFABRIK, Le Quartz SN Brest

Quels gestes conserveriez-vous, si le mouvement devenait pour vous un enjeu, un objectif, un combat méritant ou nécessitant une attention sans faille ? Cette nécessité du geste rassemble sur scène les danseurs.ses et des interprètes en perte de mobilité (ancienne danseuse, un ex-boxeur professionnel).

2 représentations

Durée : 1h

Co-production / diffusion

PREMIÈRE au printemps 2021 : Festival de Marseille , Ballet National de Marseille, Vooruit Gand (BE), ICKamsterdam (PB), Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), Carreau du Temple à Paris, Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), CharleroiDanse (BE), Le Vivat Armentière..
Le projet est soutenu par la Fondation Porosus, Le Pôle Arts de la Scène -La Friche Belle de Mai
Exposition LE BAL à Paris en automne 2021 dans le cadre du prix de la jeune création contemporaine LE BAL - ADAGP

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févr.
23

WAKA👁️Durance - Etape de travail au Théâtre Durance, Château-Arnoux-Saint-Auban

Spectacle (2023) au croisement du concert, de la chorégraphie et de l’art vidéo, WAKA👁️THEATRE met en scène la jeune pousse de la pop ougandaise Rachael M., connectée via visioconférence au reste de sa famille, les WakaStarz.

Plus d’information sur l’étape de travail

Coproducteurs Charleroi Danse | CDN La Comédie de Valence | Points communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise | Festival de Marseille | 3 bis f, centre d’art contemporain d’intérêt national - résidences d’artistes à Aix-en-Provence, Citron jaune, Vélo Théâtre, Théâtre Durance, dans le cadre du Projet Tridanse | Ballet national de Marseille | CCN Ballet de Lorraine | ICK Amsterdam | Les Hivernales, CDCN d’Avignon | La Briqueterie - CDCN. | CD 13 des Bouches du Rhône

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févr.
20
à 21 févr.

Forme(s) de vie - Spectacle Le Carreau du Temple, Paris

Spectacle : 2 représentations

Quels gestes conserveriez-vous, si le mouvement devenait pour vous un enjeu, un objectif, un combat méritant ou nécessitant une attention sans faille ? Cette nécessité du geste rassemble sur scène les danseurs.ses et des interprètes en perte de mobilité (ancienne danseuse, un ex-boxeur professionnel).

Durée : 1h

Co-production / diffusion

PREMIÈRE au printemps 2021 : Festival de Marseille , Ballet National de Marseille, Vooruit Gand (BE), ICKamsterdam (PB), Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), Carreau du Temple à Paris, Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), CharleroiDanse (BE), Le Vivat Armentière..
Le projet est soutenu par la Fondation Porosus, Le Pôle Arts de la Scène -La Friche Belle de Mai
Exposition LE BAL à Paris en automne 2021 dans le cadre du prix de la jeune création contemporaine LE BAL - ADAGP

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févr.
2

HIKU - Etape de travail à L'Agora, Montpellier

Au Japon, des dizaines de milliers d’individus se retirent du monde pour vivre dans un isolement absolu, restant enfermés chez eux pendant des années. On les appelle les hikikomori. Pendant quelques mois, Anne-Sophie Turion et Éric Minh Cuong Castaing se sont immergés dans la vie d’une association de réinsertion de hikikomori et ont noué un contact avec certains d’entre eux. 

Expérience performative mêlant cinéma, prise de parole et chorégraphie, HIKU crée les conditions d’une rencontre à priori impossible : celle du public avec ces individus qui ont fait l’expérience d’un retrait social radical. Accompagnés de performeurs.euses, trois hikikomoris investissent la scène à distance grâce à des robots de téléprésence commandés depuis chez eux au Japon.

Montpellier Danse dans le cadre de I'accueil en résidence à I'Agora, cité internationale de la danse, avec le soutien de la Fondation BNP Paribas

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janv.
20

HIKU - Etape de travail dans le cadre de la Biennale Chroniques

Au Japon, des dizaines de milliers d’individus se retirent du monde pour vivre dans un isolement absolu, restant enfermés chez eux pendant des années. On les appelle les hikikomori. Pendant quelques mois, Anne-Sophie Turion et Éric Minh Cuong Castaing se sont immergés dans la vie d’une association de réinsertion de hikikomori et ont noué un contact avec certains d’entre eux. 

Expérience performative mêlant cinéma, prise de parole et chorégraphie, HIKU crée les conditions d’une rencontre à priori impossible : celle du public avec ces individus qui ont fait l’expérience d’un retrait social radical. Accompagnés de performeurs.euses, trois hikikomoris investissent la scène à distance grâce à des robots de téléprésence commandés depuis chez eux au Japon.

Etape de travail réalisée en coproduction avec la plateforme CHRONIQUES CRÉATIONS, soutenue par la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, la ville de Marseille et l’Institut Français à Paris. En coproduction avec Parallèle et Scène 44. En partenariat avec le 3 bis f – Centre d’arts contemporains.

Gratuit - sans reservation

https://chroniques.org/event/hiku/

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déc.
15

HIKU - Etape de travail au Centre National pour la Création Adaptée

Expérience performative mêlant cinéma, prise de parole et chorégraphie, HIKU crée les conditions d’une rencontre à priori impossible : celle du public avec ces individus qui ont fait l’expérience d’un retrait social radical. Accompagnés de performeur.euse.s, trois hikikomoris investissent la scène à distance grâce à des robots de téléprésence commandés depuis chez eux au Japon.

Après une semaine de résidence au Sew (CNCA) à Morlaix, nous ouvrons les portes du studio afin de vous dévoiler cette première étape de travail du projet HIKU.

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déc.
15

Forme(s) de vie - Spectacle ICK Dans Amsterdam

Dans Forme(s) de vie, le chorégraphe Eric Minh Cuong Castaing réunit des danseurs et des adultes en perte de mobilité. Il révèle ainsi la puissance (d'adaptation) de corps trop souvent mis de côté. Sur scène, les danseurs côtoient des interprètes qui ont perdu leur mobilité. Avec l'incarnation de prothèses par les danseurs, cette performance/installation interroge l'idée contemporaine d'un corps augmenté.

Quels gestes conserveriez-vous si le mouvement devenait un problème, un objectif, une lutte qui réclamait toute votre attention ? Dans le prolongement de L'Âge d'Or, réalisé avec des enfants atteints de la maladie du motoneurone, Forme(s) de vie propose une nouvelle façon de danser ensemble. À partir de la nécessité du geste humain. La performance-installation se développe autour d'un film sur plusieurs écrans et implique également les corps des visiteurs. Des danseurs compensent avec leur corps les déficiences motrices d'autres personnes, comme une ex-danseuse et un ex-boxeur. Les danseurs sont utilisés comme des prothèses, en quelque sorte. Cela affecte la conscience de leur corps et de leur relation à l'autre. Et au présent, dans notre société individualiste, ultra compétitive et techno scientifique.

Durée : 1h

Infos : https://www.ickamsterdam.com/en/academy/productions/formes-de-vie-97

Billetterie : https://www.meervaart.nl/theater/programma/details/2356

Co-production / diffusion

PREMIÈRE au printemps 2021 : Festival de Marseille , Ballet National de Marseille, Vooruit Gand (BE), ICKamsterdam (PB), Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), Carreau du Temple à Paris, Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), CharleroiDanse (BE), Le Vivat Armentière..
Le projet est soutenu par la Fondation Porosus, Le Pôle Arts de la Scène -La Friche Belle de Mai
Exposition LE BAL à Paris en automne 2021 dans le cadre du prix de la jeune création contemporaine LE BAL - ADAGP

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nov.
17
à 20 nov.

Forme(s) de vie - Installation vidéo lors du « Live Arts Festival » au M Leuven

Quels gestes conserveriez-vous, si le mouvement devenait pour vous un enjeu, un objectif, un combat méritant ou nécessitant une attention sans faille ? Cette nécessité du geste rassemble sur scène les danseurs.ses et des interprètes en perte de mobilité (ancienne danseuse, un ex-boxeur professionnel).

Durée : 1h

Co-production / diffusion

PREMIÈRE au printemps 2021 : Festival de Marseille , Ballet National de Marseille, Vooruit Gand (BE), ICKamsterdam (PB), Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), Carreau du Temple à Paris, Tanzhaus NRW Düsseldorf (DE), CharleroiDanse (BE), Le Vivat Armentière..
Le projet est soutenu par la Fondation Porosus, Le Pôle Arts de la Scène -La Friche Belle de Mai
Exposition LE BAL à Paris en automne 2021 dans le cadre du prix de la jeune création contemporaine LE BAL - ADAGP

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nov.
16

Forme(s) de vie - Atelier FRA | symposium ART + CARE, ICK Dans Amsterdam

FRA

Sous le nom de FRA (italien pour "entre"), ICK organise depuis 2013 des rencontres où le corps intuitif est questionné par la provocation et la contradiction. Jusqu'à présent, ces rencontres étaient nomades, mais à partir de 2022, elles se dérouleront régulièrement dans la nouvelle maison d'ICK : Space for Dance Art. Les rencontres s'adressent à un large public intéressé par la danse, le mouvement ou simplement la fiction du corps.

FRA | symposium ART + CARE: Forme(s) de Vie
ICK: Space for Dance Art / Rhino Space
Rijnlandlaan 3, Gebouw Westbeat
16 novembre 14:00 – 16:45

Inscription gratuite : https://www.meervaart.nl/theater/english/programma/details/2356

Ce symposium est le coup d'envoi du projet pluriannuel ART + CARE, qui met en lumière la relation entre l'art et les soins. Le travail de l'artiste associé de l'ICK, Éric Minh Cuong Castaing, est au centre de l'attention.

Dans son travail chorégraphique, Éric explore la représentation et la perception du corps humain au XXIe siècle. Ce faisant, il interroge les dualismes entre réalité et fiction, nature et culture, organique et artificiel. Éric Minh s'intéresse aux corps uniques et aux relations interpersonnelles. Il travaille non seulement avec des danseurs expérimentés, mais aussi avec des amateurs, des personnes ayant des limitations de mouvement et des enfants (handicapés physiques). Les projets d'Eric Minh sont développés en France et aux Pays-Bas, en collaboration avec les institutions de soins locales, les personnes intéressées et l'enseignement spécialisé. Pour chaque projet, l'ICK Academy organise un programme d'ateliers où les participants locaux prennent part à un processus créatif et apprennent à connaître les méthodes de travail d'Éric et de son équipe. Ces ateliers sont documentés afin que, grâce à une combinaison de recherche artistique et scientifique, la méthodologie de travail puisse être largement partagée avec d'autres institutions de soins et soignants. Cela crée des rencontres significatives entre les participants et les institutions (de soins) d'une part, et avec le monde de l'art d'autre part. L'objectif commun est d'apprendre les uns des autres et d'enrichir l'expérience de vie des participants à mobilité réduite. Le résultat peut être un élargissement à la fois esthétique et fonctionnel de leurs possibilités de mouvement.

À propos du spectacle Forme(s) de Vie :

Traduit du français, Forme(s) de Vie signifie donner une forme à la vie en activant le corps en mouvement à partir d'une motivation esthétique. Dans Forme(s) de Vie, le chorégraphe franco-vietnamien Eric Minh Cuong Castaing réunit des danseurs de sa compagnie Shonen et des adultes à mobilité réduite. Il révèle ainsi la force et la vulnérabilité de corps trop souvent sous-estimés ou dépréciés. Quels gestes conserveriez-vous si le mouvement devenait un problème, un objectif, une lutte qui exigeait toute votre attention ? Les danseurs agissent en quelque sorte comme des prothèses humaines, compensant avec leur corps les déficiences motrices d'un ancien danseur et d'un ancien boxeur. La performance se développe organiquement autour d'une installation cinématographique et implique également les corps des visiteurs.

La performance Forme(s) de Vie avec la distribution originale française peut être vue le mercredi 15 décembre à 14h00 dans le studio de théâtre de ICK : Space for Dance Art.

ICK Dans Amsterdam est soutenu financièrement par la ville d'Amsterdam et le Performing Arts Fund. Le projet Forme(s) de Vie à l'ICK est réalisé avec le soutien financier de VriendenLoterijFonds, VSBFonds, Stichting Zabawas, Prins Bernhard Cultuurfonds Noord-Holland et Fonds Culturel Franco-Néerlandais.

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nov.
10

PHOENIX - Spectacle Next Festival, Coutrai

Pièce chorégraphique pour drones et danseurs, Phoenix confronte l’espace théâtral à la trouble polysémie de ces machines, à la fois objets de loisir et drones de surveillance et de guerre. Connectant en temps réel les danseurs, sur scène, avec d'autres artistes subissant à Gaza la présence permanente des « avions sans pilotes », Phoenix explore, entre l’orient et l’occident, les relations corps-drones dans leurs dimensions physiques et psychologiques.

Exposés au vrombissement incessant des drones (« gros bourdon » ou « bourdonnement », selon la terminologie anglo-saxonne), les danseurs habitent une scène tout à tour sensible, terrain d’opérations ou fenêtre sur le monde. L’espace théâtral s'ouvre sur une autre réalité, un autre vécu sous les drones, à Gaza, évoquant l’asymétrie des conflits actuels qui impliquent l’occident et les puissances productrices de drones, et les pays où ils sont envoyés.

Phoenix a été créé par la Cie Shonen, en collaboration avec des artistes palestiniens vivant à Gaza. La pièce accueille notamment une oeuvre vidéo réalisée par le collectif de breakdancers Myuz GB Crew, qui pratique le « parkour » acrobatique dans l’espace urbain, à Gaza.

Durée : 1h

PRODUCTION Ballet National de Marseille, Festival de Marseille, Pôle des arts de la scène-La Friche, Charleroidanse, ViaDanse-CCN Bourgogne-Franche-Comté à Belfort, Institut français de Beyrouth, Tanzhaus de Dusseldorf, Centre d’arts visuels 2 angles à Flers, Hellerau - Tanzhaus de Dresde, CCN de Créteil et du Val-de-Marne/Compagnie Käfig, Fonds Transfabrik, Fondation HOPE centre culturel à Gaza city. Avec la participation du Dicream et le soutien du groupe de la Caisse des dépôts, aide au projet danse DRAC PACA, avec le soutien de
l'Institut Français à Paris et de la Ville de Marseille.

DISTRIBUTION Conception & chorégraphie Eric MCC avec les danseurs Jeanne Colin, Kevin Fay, Mumen Khalifa, Nans Pierson, et le collectif Myuz GB Crew | robotique Drone Thomas Peyruse, Scott Stevenson  | musique originale Gregoire Simon & Alexandre Bouvier | lumière Sébastien Lefèvre |  dramaturgie Marine Relinger | regards Alessandro Scarrioni, Pauline Simon.

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oct.
1
à 2 oct.

Premières _p/\rc___ - Théâtre du Châtelet

Avec _p/\rc___, Shonen transforme le plateau étendu du Châtelet en un grand parc aux normes renouvelées, d’où naissent des danses spécifiques, associant des enfants atteints de troubles moteurs physiques et des danseu.r.se.s. Autour d’eux, avec eux, une nuée de robots de téléprésence, pilotés par d’autres enfants ou adultes en situation d’empêchement physique. Les corps se rencontrent. Les danseu.r.se.s se font à la fois prothèses des corps dits empêchés, mais aussi toboggans, manèges vivants. Les robots poussent, tirent, dessinent avec les enfants, transportent les récits et les chants des interprètes-pilotes. De quoi est faite la différence entre « présence » et « téléprésence » ? Qu’est-ce que (se) rendre accessible ? Les spectateurs, invités à parcourir le plateau au plus près de ces danses interdépendantes, agitent par leurs déplacements cet étrange parc intérieur, un parc hors de la norme.

Un projet en collaboration artistique avec Aloun Marchal (co-chorégraphie) et Marine Relinger (Dramaturgie).

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